Épuisement des sols, usage de fertilisants et consommation faramineuse d’eau, voilà la recette à suivre pour avoir des pratiques de plantation identiques à la Thaïlande.

Le pays a «exploité ses ressources naturelles pour l’exportation de manière plus importante que la consommation domestique».

D’importants problèmes quant à l’alimentation et l’accès à l’eau potable affectent les villageois qui se retrouvent avec des terres non fertiles et délabrées. De plus, les agriculteurs locaux ont mis leur grain de sel. Ils pratiquent une technique d’agriculture sur abattis-brûlis, «pratique agricole apparue dès le néolithique», qui produit un taux de particules fines en suspension alarmant, rendant la situation sanitaire très préoccupante en Thaïlande. «Pourtant, malgré de violentes critiques et des menaces de sanctions de la part du gouvernement thaïlandais, les feux continuent de brûler», créant des problèmes respiratoires chez les citoyens et une visibilité réduite dans le ciel.

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Un fermier Thaïlandais Sandot, fut indigné par les pratiques de certains de ces concitoyens qui ont complètement brulés leurs terres au plus profond et créer une grande sècheresse par leur manque de prudence dans l'utilisation des ressources.  Il décide alors de mener une agriculture respectueuse de l'environnement et saine pour l'homme, qui permettrait de réparer les fautes commises et de sauver son exploitation via la permaculture.

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